jeudi 12 juillet 2012

Hugh Laurie alias Dr House

                  La production de l’artiste a décidé de restreindre les prises de vue du concert à une poignée de happy few, dont le photographe de la Jazz-Letter ne faisait pas partie. En conséquence, ce concert de Hugh Laurie restera invisible à ceux qui n’y ont pas assisté physiquement. Pas de photos, pas de mots.


            Il est dommage de restreindre la pluralité des médias, et plus encore dans le champ culturel, qui se nourrit des interactions, des relations et des frottements des esprits. En un mot dans un domaine où la diversité est l’essence même de sa raison d’être.

Pas de regret cependant, car si la plupart des spectateurs ont applaudi le concert, c’était plus l’icône que le musicien qu’ils gratifiaient. Une oreille à peine musicale relevait en effet l’absence d’étendue vocale du médiatique docteur et pour tout dire, l’absence de voix. L’album n’en laissait rien présager, c’est donc aux ingénieurs du son qu’iront nos louanges !



Willy J

Théâtre Antique de Vienne
Mercredi 11 juillet 2012

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